Le début d'une aventure

On 09/09/2020

In Cours

Salut ! Nous sommes le quinzième jour du mois d’octobre deux mille seize au Campus du Lac, notre aventure commence. Un moment précieux de la vie inoubliable. Une histoire vraie, touchante et très succulente. Une légende qu’on ne peut pas oublier. Cette essai est une anecdote authentique, un véritable roman d’aventure, une épopée, une histoire érotique et excitante. Ce fut ce temps que nous nous fûmes rencontré dans un Campus à mauvaise réputation du nom de ‘Kinyumba’a’, mot swahili qui signifie ‘maison abandonné’ ou ‘maison bizarre’ ; tous en faculté de médecine mais des cursus différents. Un campus étatique localisé au bord du lac Kivu, ville de Goma, à quelques kilomètres du volcan de Nyiragongo, en République Démocratique du Congo. Elle s’appelait Ombeni, et moi je me nommais Maurice à l’époque ; elle me surnomma Mike et moi je la surnommai Dr. Ciara. Nous nous rencontrâmes pour la première fois dans un recoin de la ville dénommé paroisse St. François Xavier Laurent. Ce parcours est une anecdote, une consécution érotique ! Dr. Ciara est une fille de vingt ans. Une fille très belle, une fille aux yeux marron, avec une chevelure courte, d’apparence noire rougeâtre comme les braises dans un four. Elle a des lèvres bilobées, très petites et un nez pincé comme une américaine. Elle a un cou inestimable, une généreuse poitrine avec une paire des seins très beaux à regarder, à sucer, à téter et à avaler dans la bouche. Au fait, des gros seins beaux à malaxer et d’apparence lisse à la poitrine lorsqu’elle est en falbala. Elle a des petits sourcils et remarquables lorsqu’il s’agit de faire un clin d’œil. Un cou élancé, suivi d’une ceinture scapulaire petite par rapport au reste du corps. Elle a un ventre dont le nombril forme un creux peu poilu aux extrémités. Un bassin à forme d’oignon, conoïde, avec des tailles particulières à son âge. Elle n’est pas charismatique, c’est une fille rigolote, souriante. Le calme, la douceur et la timidité sont ses caractéristiques. Son seul défaut, elle est parfois malentendante et peux prendre des mauvaises décisions sur les champs, mais la chose la plus étonnante est qu’elle peut changer d’avis si vous la reprocher. C’est une fille qui demande facilement pardon. Sa voix est petite et excitante lorsqu’elle parle ; je pensais autrefois qu’elle plaisantait pour se faire attirer par les hommes alors que c’était naturellement sa voix réelle. C’est une fille qui n’est pas la moindre à draguer et à séduire. L’une des raisons c’est son regard pénétrant, ses généreuses tailles, sa beauté, ses caractéristiques égocentriques. Au fait, ses repères anatomiques incomparables, son apparence de reine et sa classe sociale inconnue. Ce jour-là, elle était assise dans l’une des paillotes de l’enclos de St. François Xavier, la paroisse calotine. Son corps était couvert d’un pagne de couleur Kaki, modèle africain, qui ne laissait que ses bras dont les mains tenaient un syllabus qu’elle lisait pour un éventuel examen de fin d’année. C’était sa première fois de réaliser une visite à Saint François Xavier Laurent. Tout à coup un gars lui apparu. Ce garçon était moi. J’avais 22 ans lorsque j’apparu devant elle, dans l’enclos de St. François Xavier pour préparer mon exposée de nursing en maladies infectieuses et parasitaires. Un garçon élancé, noire, athlétique, né eutociquement sans notion de réanimation, aucun antécédent de diabète ni d’hypertension artérielle dans ma famille, le dernier des six enfants, né dans une famille polygamique. Un garçon bavard, rigollot, intelligent, courageux et excitant ; ce sont mes caractéristiques. J’avais vu au loin et au recoin de cette paillote cette demoiselle qui paraissait inconnue à mes yeux, qui me regardait de temps en temps sans retirer le regard. Elle me regardait d’un regard futé et accueillant. Concentrée sur sa lecture, elle me vît m’asseoir sur le fond du même mur de la paillote où elle était assise, à plus de huit mètres environ. "Bonjour ?», ai-je dit. Avec une voix douce et tremblante, "bonjour Monsieur !" Répondit-elle. Je sors mon mouchoir de poche pour essuyer où s’asseoir. Chose faite. "Comment ça va ?", ai-je posé la question. "Ça va bien cas-même. Dieu fait grâce". Répondit-elle. Chacun de nous resta concentré sur sa lecture. Mais, dans mon champs visuel, je senti un suspect : la reine me regarda et retira ses yeux lentement et sûrement comme une caméléonne qui voudrait changer de couleurs. Ciara : " Est-ce que les gens ont certainement l’habitude de venir bosser dans ici ?". Mike : " Bien sûr que oui. C’est ta première fois de venir à St. François Xavier ?" Ciara : "Ouais, c’est ma première fois, et toi ?". Mike : "Moi je ne suis pas nouveau dans cette paroisse. Tu vois tous ces étudiants qui bossent là ; ce sont mes camarades de promotion. Nous venons souvent ici puisque nous trouvons cet endroit très adorable et calme pour la lecture". Cira : "Ok, c’est très bon". Mike : "Je m’appel Mike, c’est mon surnom. Et toi tu t’appelle comment ?" Ciara : "On m’appelle Séraphine, je vis chez mon grand-frère ici à Goma". Mike : "Voici ma carte d’étudiant, je suis de Kasaï Oriental. Je viens de Cabinda et je suis venu juste pour mes études, ma vie et mon temps future". Ciara : "Il n’y a pas les universités au Kasaï oriental pour que tu viennes ici ?" Mike : "Tu sais, le monde appartient à tout le monde qui a besoins de le découvrir. Venir ici c’est juste un choix que j’ai fait. C’est juste que j’ai voulu découvrir comment est la vie à l’Est du pays et partout ailleurs". Ciara : "Oh, c’est très bien de faire les découvertes !". Mike : "Très bien d’ailleurs. Dieu a créé la terre et l’a confiée à l’homme pour qu’il la domine et qu’il domine sur toutes les créatures qui s’y trouvent". Après cette petite conversation, tout le monde se pencha sur son syllabus. Elle me regardait de temps en temps sans rien dire. Et moi, je ne cessais pas de la regarder en me posant une seule question dans la tête ‘'Mais, pourquoi elle me regarde comme ça, et quand je voudrais la regarder, elle retire son regard vite aulieu que nos regards se croisent ?’’. J’ai commencé à l’admirer sans rien dire. Une fille très belle, tout ce qui me tuait physiquement c’était son regard pénétrant, sa voix excitante comme un enfant qui tète les mamelles de sa mère, sa chevelure, son sourire, sa généreuse poitrine, son visage et son sourire sadique. Alors qu’elle couvrait tout le reste de son corps d’une pagne à cause du climat froid. Ce jour-là il y avait des brouillards un peu partout et des neigesqui provenaient des volcans actifs et éteints :Nyiragongo, Karisimbi et Nyamlagira. C’était au mois de juillet en saison sèche. Ayant senti en moi des sentiments pour elle, j’ai décidé de continuer la conversation avec elle, même si elle avait toujours envie de lire. Mike : « D’où viens-tu ma sœur et pourquoi êtes-vous ici ?». Ciara : « Je viens du Q. Ndosho", le nom de l’une des quartiers de Goma en RDC ». Mike : « Ok, c’est bien. Et vous êtes ici depuis longtemps j’espère ?" » Ciara : « Pas du tout, c’est à peine d’arriver. Au fait, moi je n’habite pas loin d’ici, tellement que je n’avais jamais eu l’intention de venir bosser ici. J’étudie à l’Université de Goma, une université dont le bâtiment est localisé au campus du Lac Kivu, département de biologie médicale, en première année de médecine. J’espère que votre institution se trouve-là aussi, n’est-ce pas ? » Mike : « Ouais, j’en suis sûr et certain. Moi j’étudie également au campus du Lac, à l’institut supérieur des techniques médicales, en faculté des sciences infirmières, orientation hospitalière. Je voudrais d’abord devenir infirmier, par après je ferai la médecine pour me limiter au niveau de généraliste après avoir obtenu mon graduat ». Ciara : « Oh merde ! Ton parcours sera très long j’espère ». Mike : « Ouais, très long. Dieu va faire grâce ». J’ai commencé à admirer Ciara dans mon cœur dès l’instant même, à partir de cette conversation qui m’a permis d’entendre sa voix érotique, de découvrir sa prononciation des mots, ainsi que son haleine parfumée. Cependant, je l’ai proposée si elle pouvait accepter que je lui dise quelque chose qui me dérangeait au cœur. Ciara : « Ca ne casse pas les carreaux, dis seulement, ce n’est pas un problème ». Mike : « Ciara, je n’ai pas envie d’aller ni à gauche ni à droite, moi je sens en moi quelque chose, cette chose dont il est question est très profond et difficile à exprimer. Je suis tombé amoureux de toi dès l’instant où je t’ai vu. Au fait, je voudrais être ton ami, ton copain ou ton ex, comme tu voudras ». Avec un regard déguerpi et pénétrant, elle a répondue : « Ce n’est pas vraiment mauvais de tomber amoureux ou amoureuse de quelqu’un(e), mais moi je suis déjà déçue avec les comportements des gars. En effet, j’ai déjà décidée de rester libre et de ne pas avoir des relations amoureuses dans ma vie. Je suis désolée vraiment ». Mike : « Mais, pourquoi ? Comment peut-on rester libre et prendre une telle décision fatalement ? Qu’est-ce qui ne va pas avec toi ? ». Ciara : « Tout simplement parce que j’ai connue une grave déception dans la vie ». Mike : « Dans la vie, il faut savoir tourner la page. Cela te permet de rencontrer et de découvrir des nouvelles opportunités. Mais aussi, rien ne nous arrive au hasard dans la vie. Tout ce qui nous arrive dans la vie, ça fait partie du plan de Dieu et non des hommes. Peut-être que celui-là n’était pas ta destinée ». Ciara : « Vraiment ? » Mike : « Bien sûre que oui, tu crois vraiment que je te trompe pour t’avoir facilement dans mes bras ou tu as peur de me dire la vérité ? ». Ciara : « Non. Moi je n’aime pas dire le mensonge, tu sais, la vérité libère quelqu’un. Mais pourquoi les hommes sont si méchants ? Comment peut-on laisser quelqu’un avec des telles blessures dans le cœur ? Mais, pourquoi tout ceci ? ». Mike : « Il n’y a pas que les hommes qui sont méchants sur la terre. Il y a également des femmes méchantes. Des femmes qui ne méritent même pas de vivre sur cette planète. Des femmes égoïstes et égocentriques. Mais, toutefois l’exception ne manque jamais. La Bible déclare qu’il y a un temps pour tout. Et moi je veux te dire qu’il y a un temps pour tout sur cette terre : il y a un temps pour rire, un temps pour pleurer, un temps pour danser et un temps pour parier. Un temps pour tout ». Ciara : « Que voulez-vous dire par là ? Quelles sont tes intentions avec moi svp ? ». Mike : « Je voudrais faire de toi ma copine pour le moment, puis mon épouse dans le temps future si Dieu le permet, car si je te promets que je veux te marier, tu auras encore des blessures lorsque je ne parviendrais pas à réaliser un mariage avec toi. Je suis sincère dans ma parole et je ne suis pas entrain de faire les blâmes. Je ne suis pas le genre des mecs qui donnent des fausses promesses irréalisables. Je suis tombé amoureux de toi et je te trouve adorable depuis que je suis dans cette paillotte ». Ciara : « Je n’ai pas besoin de blesser mon cœur pour rien en ayant une relation amoureuse avec toi, cessez de me dire ça, laissez-moi préparer mon examen ». Crack, crack, crack, Ciara ouvrit son livre et commença à relire de nouveau sans me regarder encore. Je serre près d’elle et je me tiens débout devant elle en la regardant profondément dans les yeux. Elle sentie que quelqu’un était autour de lui et tourna la tête pour le regarder. Nos regards se croisèrent, j’ai vu Ciara retirer vite son regard et regarder par terre avec une grande honte. Mike : « Ciara, tu ne m’aime pas puisque je ne suis pas de cette province ou parce que je ne suis pas de ta tribut ? Ou alors parce que je viens de très loin ? ». Ciara : « Ni l’un ni l’autre, puisque d’ailleurs je ne sais pas d’où tu viens. Nammmmn au fait, laisse moi d’abord tranquille car je dois maintenant réfléchir sur ta proposition, puis je vais te répondre dès qu’on aura fini la séance de lecture avant mon retour. Mais, j’espère que je ne suis pas de ton avis ». Mike : « Mais, je t’ai dis récemment que je suis de Kasaï oriental, précisément à Mbuji-Mayi, actuelle province de la Lomami ? ». Ciara : « Mike, l’amour n’est pas fondé sur tout ça. Tu es un garçon très beau et sympa, mais je ne voudrais pas tout simplement blesser mon cœur de nouveau puisque je suis à l’aise dès lors que j’ai décidée de rester seule. C’est ne pas que je ne t’aime pas, je t’aime bien et je t’ai aussi envié en te voyant seulement et en entendant ta voix roque et géante de responsable. Tu sais qu’on dois cas-même réfléchir avant de prendre une décision ». Mike : « Oui merci, tu es très gentille ». Ciara : « Merci. Alors, c’est aussi mon principe ». Je regarde en haut, en bas, à gauche et à droite, je souris d’un large sourire et je dis à mon cœur d’être patient en attendant la réponse de la reine. Une idée m’arrive et me dit : on ne doit pas supporter toutes les caprices d’une fille. Sinon, la domination risque d’avoir place dans le couple. Mike : « Pourquoi tu es méchante comme ça madame ? Tu ne souris jamais ? » Ciara : « Haha ha, que me veux-tu monsieur ? Je n’ai jamais vu un gars si courageux et résistant, tu me fais rire. Il y a toujours des trics qui me font rire ». Mike : « La colère ne construit jamais, soyons sérieux. Moi je t’aime ». J’ai enfin compris que Ciara n’avais pas besoin de chauffer mon cerveau en allant à gauche ou à droite. C’est à elle maintenant de me dire si cette proposition est considérée ou rejetée. Voyons voir maintenant. Ciara souri, me regarde profondément dans les yeux, puis elle avale une gorgée de salive en me disant d’une voix basse : Ciara : « je t’aime aussi, tes paroles ont touchées le fond de mon cœur. Comment peut-on détester celui qui montre combien il vous aime ? ; À moins que l’on soit injuste. Mike, laisse-moi te dire que je te donne ma vie à partir d’aujourd’hui et je ne veux pas que tu me blesse comme les autres gars. Au fait, je t’ai aussi aimée dès le moment où je t’ai vu entrer dans cette paillotte et je me suis demandé comment pourrai-je avoir une relation amoureuse avec un bel homme comme toi ?». Mike : « Merci beaucoup Ciara. Je t’aime grandement et j’éprouve beaucoup des sentiments inexprimables pour toi. Fais-moi ton NUM s’il te plaît ». Ciara : « Sans souci" a-t-elle répondue ». Dr. Ciara devint ma super nana dès le jour même.